R :Tous les experts internationaux recommandent le traitement du flux avant le stock d’archives. Le but est d’éviter l’effet entonnoir dans la conduite des projets d’organisation des archives.

R :Qui trop embrasse étreint : les principaux  points à prendre en compte est la maîtrise du jalonnage et la mise en place rapidement d’une stratégie de conduite des changements. Ceci implique une parfaite connaissance du maître d’ouvrage.

R :les deux ont beaucoup de similitude, mais ne sont pas mis en place pour répondre aux même besoins : une GEIDE est parfaite pour les documents en cours de formalisation,  les documents peuvent y être modifiés. Dans une SAE, il ne peut pas y avoir de modification possible des documents.

R :La première concernée est le Chef de l’Organisation. Le projet va permettre de protéger le premier responsable, en effet le pouvoir de signer est concomitant avec l’obligation de rendre compte. Par ailleurs il ne faut pas oublier que c’est encore lui qui validera tous les outils proposés…Ensuite vous avez tout le personnel et surtout ceux du service ou de la chaine archivistique.

R : Pour beaucoup de personne, sécuriser un document papier suppose l’acquisition des papiers avec où sont intégrées des mesures de sécurité lors de la fabrication du papier, où des hologrammes peuvent être apposés. Il souvent préférable d’envisager plutôt la SECURISATION DE LA PROCEDURE de production de ce papier, avec association d’une signature électronique. Cette approche est plus efficiente.

R : pour un audit documentaire ; Six livrables ci-dessous peuvent suffire au décideur pour un prise de décision :

1. Rapport analyse de l’existant ;
2. Plan d’archivage ;
3. Cahier de charges matérielles et logicielles ;
4. Rapport étude d’implantation salle d’archives ;
5. Cahier de charges conditions de conservation ;

Rapport d’évaluation financière